Politique : retrouvez les actualités politiques et ainsi, suivez les moments forts de la politique française. Notre rédaction analyse pour vous l’actualité politique : élections (élection présidentielle, élections législatives et municipales), débats à l’Assemblée nationale et au Sénat, action du gouvernement d’Emmanuel Macron et de l’opposition. L’actu politique des divers partis et coalitions : Renaissance, La Nupes (La France insoumise, Parti socialiste, Parti communiste français, Europe Écologie Les Verts, etc.), Rassemblement national, Les Républicains, Horizons, MoDem, etc.
Le Royaume-Uni a annoncé mercredi 17 juillet abaisser l’âge du droit de vote de 18 à 16 ans pour toutes les élections. TF1info fait le point sur ce débat qui divise la classe politique française depuis de nombreuses années.
La Commission européenne veut augmenter les frais d'entrée dans l'Union européenne, les passant de 7 à 20 euros. Cette autorisation de voyage numérique est prévue pour fin 2026.
Les candidats se pressent aux portes de l'Hôtel de ville, en vue des municipales de 2026. La ministre Rachida Dati est la grande favorite, face à une gauche divisée.
Au Royaume-Uni, le gouvernement souhaite abaisser l’âge minimal pour pouvoir voter à 16 ans. Il souligne que les jeunes de 16 ans sont déjà nombreux à payer des impôts et à servir dans l'armée. Et si la France suivait le même chemin ?
Invité de TF1 ce vendredi, le député LFI Éric Coquerel appelle "tous les groupes de gauche" à censurer le gouvernement. En cause ? Un projet de budget "mauvais pour le pays".
Sehla Bougriou reçoit Éric Coquerel, président LFI de la Commission des Finances à l'Assemblée nationale. Il a notamment abordé l'idée de monétiser la cinquième semaine de congé ainsi que la libération de Georges Abdallah.
La ministre du Travail et de l'Emploi Astrid Panosyan-Bouvet était l'invitée de LCI ce jeudi 17 juillet. Venue défendre sa proposition de monétiser la cinquième semaine de congés payés, elle a estimé que la balle était dans le camp des syndicats. Pour elle, il s'agit d'un "arbritrage personnel entre temps et salaire" qui doit faire l'objet d'une négociation dans les entreprises.
Les réactions se multiplient après les annonces de François Bayrou sur les orientations pour le budget 2026. La ministre du Travail et de l'Emploi est l'invitée de LCI ce jeudi. Suivez les dernières informations et réactions.
François Bayrou a proposé de supprimer deux jours fériés en France afin de réaliser des économies dans le budget 2026. Selon ses détracteurs, Emmanuel Macron jugeait en 2019 que ce n'était pas une bonne idée. Nous nous sommes plongés dans les archives.
Lors de la présentation des orientations budgétaires pour 2026, Astrid Panosyan-Bouvet a évoqué la piste de la monétisation de la 5ᵉ semaine de congés payés. Les salariés auraient la possibilité d'y renoncer en échange d'une rémunération. Une idée qui fait bondir les syndicats.
Invité de TF1 ce jeudi, le député Mathieu Lefèvre (EPR) plaide pour revoir le cadre légal du temps de travail. "Il faudra mettre fin aux 35 heures et laisser la liberté aux entreprises de s'organiser", propose-t-il.
Opposé à la censure du gouvernement de François Bayrou depuis son arrivée à Matignon, François Hollande évoque pour la première fois une telle hypothèse. Face au projet de redressement des finances publiques, l'ancien chef de l'État demande une "révision profonde" des mesures. Sans quoi le gouvernement pourrait tomber, même s'il ne privilégie pas cette option.
Invité de TF1 ce jeudi, le député EPR du Val-de-Marne Mathieu Lefèvre a défendu le projet de budget présenté par François Bayrou. "L'effort tel qu'il est demandé est important", a-t-il admis, pointant tout de même l'importance du "redressement" des finances du pays.
Sehla Bougriou reçoit Mathieu Lefèvre, vice-président d’EPR et député du Val-de-Marne. Il réagit au projet du budget 2026 présenté par François Bayrou, évoque son impact sur les ménages et la baisse du taux du Livret A.
François Bayrou a annoncé une série de mesures visant à réduire la dette et le déficit public. D'après une enquête Ifop pour LCI, 57% des Français jugent le plan du Premier ministre "nécessaire". Ils ne sont en revanche que 26% à penser qu'il est "juste", estimant qu'il répartit mal les efforts demandés.
Malgré sa condamnation dans l'affaire des assistants parlementaires du FN, Marine Le Pen compte se représenter en cas de législatives anticipées. Dans une interview au "Parisien", elle affirme qu'elle déposera une question prioritaire de constitutionnalité, afin de contester son inéligibilité. L'ex-candidate à la présidentielle envisage également de voter la censure du gouvernement Bayrou après ses annonces budgétaires.
Mardi, le Premier ministre a dévoilé ses pistes pour faire 43,8 milliards d'économies et augmenter la production en France. "Année blanche", suppression de deux jours fériés… Un plan vivement critiqué par les oppositions, de LFI au RN, qui menacent François Bayrou de censure.
Présentant ses arbitrages pour le budget 2026 mardi, le Premier ministre a proposé la suppression de deux jours fériés. Il a cité comme exemples le lundi de Pâques et le 8-Mai. François Bayrou a justifié son choix mais, voyant le caractère inflammable d'une telle annonce, s'est dit "prêt à accepter d'autres idées".
François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés afin de contribuer à réduire le déficit public. Matignon précise ce mercredi à TF1 et LCI que cette mesure concernerait tous les fonctionnaires, et donc les enseignants.
Le Premier ministre a révélé ce mardi les grandes lignes du budget 2026, avec pour objectif de réduire le déficit public de 43,8 milliards d’euros. Le budget définitif devrait arriver au Parlement début octobre après les derniers arbitrages gouvernementaux et les avis du Conseil d'État et du Haut Conseil des finances publiques. L’opposition menace déjà de rejeter le texte en l’état actuel et de censurer le gouvernement, tandis que la CGT appelle déjà à la mobilisation pour la rentrée.
François Bayrou a présenté les grandes orientations pour le budget 2026, avec pour objectif 40 milliards d'économies. Parmi les idées qu'il soutient, une "année blanche" sans revalorisation des prestations sociales, la suppression de deux jours fériés, ou encore la contribution des plus fortunés.
Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail et de l’Emploi, recevra dès la fin de semaine les partenaires sociaux. Sur TF1, elle a affirmé vouloir les consulter pour "revoir l'assurance chômage" et réfléchir au moyen de "responsabiliser" travailleurs et entreprises sur l'augmentation des arrêts maladie.
François Bayrou a révélé mardi son plan pour réaliser un peu plus de 40 milliards d'euros d'économies l'année prochaine. Parmi les mesures évoquées, celle d'une "année blanche". Les associations de lutte contre la précarité prédisent une "catastrophe" pour les ménages les plus modestes, rappelant le "taux de pauvreté record" en France.
Astrid Panosyan-Bouvet, ministre chargée du Travail et de l’Emploi, était l’invitée de Sehla Bougriou ce mercredi. Elle est notamment revenue sur les annonces de François Bayrou qui ont suscité beaucoup de réactions, dont une menace de censure.
François Bayrou a annoncé mardi ses mesures pour réduire la dette et redynamiser la production. Mais les dés n’étaient-ils pas jetés avant même qu’il ne commence son intervention ? Anna N’Diyae revient sur les réactions politiques qui n’ont pas tardé.
Le Premier ministre a annoncé la suppression de deux jours fériés dans son projet de budget pour 2026. François Bayrou a suggéré le lundi de Pâques et le 8-Mai, suscitant une levée de boucliers. Depuis le départ, la commémoration de la fin de la Seconde Guerre mondiale a eu de la peine à se faire une place dans le calendrier français.
Ce mardi 15 juillet, le Premier ministre a fait des annonces sur les orientations budgétaires pour 2026. "Année blanche", suppression de deux jours fériés… François Bayrou a dévoilé des plans pour faire 43,8 milliards d'économies et augmenter la production.
Avec les annonces faites ce mardi 15 juillet, François Bayrou s'expose à la censure. Il n'y a pas de majorité à l'Assemblée nationale. Si le Premier ministre veut passer l'étape du budget à l'automne, il ne pourra pas le faire sans le Rassemblement national ou le Parti Socialiste, qui estiment que le compte n'y est pas en l'état. Même tonalité pour l'allié du RN, Éric Ciotti. À trois mois de l'épreuve du feu au Parlement, François Bayrou a-t-il encore des marges de manœuvre ?
Lors de son discours de présentation du budget 2026 ce mardi 15 juillet, François Bayrou a annoncé le dépôt d'un projet de loi pour créer une "allocation sociale unifiée". Concrètement, cela reviendrait à fusionner plusieurs prestations en un seul versement aux bénéficiaires. Le RSA, les APL ou encore la prime d'activité pourraient être concernés.
L'ancien Premier ministre va se présenter à l'élection législative partielle dans la 2ᵉ circonscription de la capitale. Vendredi dernier, le député macroniste sortant a été déclaré inéligible. Le scrutin doit avoir lieu sous 3 mois après l'invalidation du précédent.
Le projet de budget du Premier ministre était très attendu. La plupart des acteurs politiques d'opposition n'ont pas attendu la fin de sa présentation pour le critiquer. Pour des raisons différentes, droite et gauche fustigent notamment la suppression de deux jours fériés, et le principe d'une année blanche.
François Bayrou a présenté ce mardi 15 juillet ses arbitrages pour le budget 2026. Selon le Premier ministre, le moment est "critique" car la dette est un "danger mortel" pour le pays. Pour redresser les finances publiques, il propose notamment une année blanche et la suppression de jours fériés.
Le Premier ministre a détaillé ce mardi 15 juillet son projet pour le prochain budget. Parmi les pistes envisagées, il a évoqué une "contribution de solidarité". Un impôt qui ne concernerait que "les plus hauts revenus".
Le Premier ministre a présenté, ce mardi 15 juillet, les grandes orientations du budget 2026. Un plan pour mettre fin à l'augmentation de la dette et augmenter la production. François Bayrou a notamment annoncé la suppression de deux jours fériés, évoquant la possibilité du lundi de Pâques et du 8-Mai.
Le Premier ministre a présenté, ce mardi, les grandes orientations du budget 2026. Un casse-tête financier et politique pour trouver plus de 40 milliards d'euros d'économies. Pour y parvenir, François Bayrou a annoncé le recours à une "année blanche".
À quelques heures de la conférence de presse de François Bayrou, le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national Thomas Ménagé l'a mis en garde, ce mardi matin sur TF1. À propos d'une "année blanche" ou de la perte d'un jour férié, il a prévenu : "On ne peut pas demander des efforts aux Français si l’État ne fait pas des efforts." Aussi, "François Bayrou est sur l'autoroute de la censure", a-t-il averti.
Sehla Bougriou reçoit Thomas Ménagé, porte-parole du RN et député du Loiret. Il parle du budget 2026 et du plan d’économies que devrait présenter François Bayrou. Il revient également sur les perquisitions au siège du RN.
François Bayrou doit présenter un budget 2026 ambitieux. Il doit affronter un défi périlleux, selon Anna N’Diaye : 40 milliards d’économies à trouver, déjà colossal avant même l’annonce par Emmanuel Macron d’une hausse du budget de la défense.
Le gouvernement doit trouver 40 milliards d'euros d'économies pour son budget 2026. Parmi les solutions évoquées pour y parvenir, celle d'une "année blanche". En quoi cela consiste-t-il, et pourquoi cela ne fait pas l'unanimité ?
Emmanuel Macron annonçait une augmentation significative du budget de la défense d'ici 2027. Pour la financer, plusieurs pistes existent, dont celle d'un nouveau jour férié travaillé. Cela existe déjà, la journée de solidarité pour les personnes âgées. Un jour par an, l'employeur ne paie pas son salarié. À la place, il verse une cotisation à l'État. Cette fois, il faut trouver 3,5 milliards d'euros pour le budget de la défense. C'est ce que rapporterait une deuxième journée travaillée bénévolement.
Emmanuel Macron est arrivé sur la grande place de l’Étoile où résonne une première sonnerie.
Dans un discours face aux forces armées, dimanche, Emmanuel Macron a dépeint les nombreuses menaces et défis qui s'imposent à la France. Pour tenir le cap, un effort budgétaire inédit est nécessaire, a-t-il défendu, annonçant que cette enveloppe devra considérablement augmenter d'ici 2027. Pour cela, il ne veut pas recourir à "l'endettement" mais à "plus d'activité et plus de production".
Emmanuel Macron a pris la parole ce dimanche soir, face aux armées. Le chef de l'État a annoncé une hausse des dépenses de défense face à une "liberté menacée".
Ce dimanche 13 juillet, devant les représentants des forces armées, Emmanuel Macron a déclaré que nous vivions un moment de bascule. Face à des menaces de plus en plus fortes, le président de la République a annoncé une augmentation du budget de la Défense de dix milliards d’euros sur deux ans. Le chef de l’État a stipulé que cet effort nouveau, historique, est proportionné, crédible et indispensable. C'est juste ce qu’il nous faut, vraiment ce qu’il nous faut.
Le budget de l'armée représente aujourd'hui 880 euros par Français et par an. Une somme qui paraît considérable, mais qui reste très en deçà des besoins sur le terrain. L'enveloppe allouée aux militaires devrait largement augmenter d'ici à 2030.
Le juge administratif estime que la métropole de Nice n'est pas compétente pour limiter les arrivées de navires de croisière dans la baie. Par conséquent, l'arrêté pris en ce sens par Christian Estrosi a été annulé ce dimanche 13 juillet.
Un accord historique a été signé le 12 juillet sur l'avenir de la Nouvelle-Calédonie. Le RN se réserve le droit de ne pas voter la loi modifiant la Constitution.
Le député RN de la Somme était l'invité de L'Événement du Dimanche, ce 13 juillet. Il juge "justifiée" une hausse du budget de la défense, comme le voudrait le chef de l'État.
Samedi, un ouvrier agricole était dans un état critique après avoir été blessé lors d'une descente de la police de l'immigration dans des fermes légales de cannabis cette semaine près de Los Angeles. Lors de l'opération de police, il s'est réfugié sur le toit d'une serre, avant de faire une chute de 9 mètres.
Selon un sondage Ipsos pour La Tribune Dimanche, la cote de popularité du couple exécutif remonte très légèrement, mais reste à des niveaux bas. Si Bruno Retailleau reste le ministre le plus apprécié, sa cote de présidentiable recule de quatre points par rapport à juin.
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